Portfolio
Commentaires
La carte montre les euphémismes que les Etats européens emploient pour parler des différents types de centres de détention: la Roumanie parle de « centre de prise en charge publique » (Centrul de custodie publica).
La Turquie – pays candidat à l’UE – a même employer le terme de « guest houses », jusqu’à ce qu’elle soit rappelée à l’ordre par le Comité pour la Prévention de la Torture (CPT) qui a recommandé l’utilisation du terme de centre de détention « puisque les personnes détenues dans ces centres sont sans aucun doute privées de leur liberté » .
Migreurop préfère utiliser le mot « camp », terme désignant les diverses modalités d’enfermement des migrants auxquelles les autorités de nombreux États dans le monde ont de plus en plus recours.
Voir aussi :
Documents attachés
- 2014-carte-livret-camps (pdf - 186 kB )
Informations bibliographiques
Date(s) de publication : 2014Auteur(s) : Migreurop
Source(s) : La face cachée des camps d'étranger.e.s en Europe
Cartes récentes
- Le drame des migrants, otages dans le désert du Sinaï
- Couloirs migratoires et risques associés en Afrique de l’Ouest
- Des hotspots au coeur de l’archipel des camps
- Cinq ans pour rejoindre Hambourg depuis Kaboul
- Détenus et centres de rétention au Royaume-Uni : saturation et conditions de vie inhumaines
Tags
Allemagne Atlas Australie Autriche Balkans Belgique Biélorussie C(h)amp d'expression Carte des camps Chypre Danemark DOM TOM détention arbitraire Espagne Estonie Europe expulsions externalisation Finlande France Grèce Hongrie Irlande Italie La face cachée des camps d'étranger.e.s en Europe Lettonie Lituanie Londres Luxembourg Malte Maroc Mineo Moldavie Pays-Bas Pologne Portugal retour "volontaire" Royaume-Uni République Tchèque Slovaquie Slovénie Suisse Suède Ukraine Union européenne